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Misaki Théâtre
11 avril 2013

"Caligula" de Camus, au Petit Théâtre de Naples (Paris 8è) à partir du 20 avril

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A l'occasion du centenaire de la naissance d'Albert Camus, la compagnie Icare de Naples présente :

CALIGULA

Affiche_final_v2

Mise en scène : Patrick Rouzaud, assisté par Arnaud Longé
Lumières : Christophe Bourgois et Alain Dulin
Costumes : Sylvia Dardenne et Christa Weill-Kulcsar

Représentations prévues du 20 avril au 9 juin 2013 au Petit Théâtre de Naples (22 rue de Naples, 75008 Paris) 

Distribution (par ordre d'entrée en scène) :

  • LEPIDUS : Sophie Negroni
  • SENECTUS : Annie Fournier
  • MUCIUS : Mahmoud Ktari
  • HELICON : Arnaud Longé
  • CHEREA : Olivier Ntep
  • SCIPION : Olivier Quinton
  • CAESONIA : Sonia Ouldammar
  • CALIGULA : Lajos Kulcsar
  • MEREIA : Thomas Laurent

Quelques informations sur la pièce :
Caligula est une pièce de théâtre écrite par Albert Camus, entamée en 1938 (le premier manuscrit date de 1939), et publiée pour la première fois en mai 1944 aux éditions Gallimard. Dans cette pièce, il faut bien noter que Camus parle indirectement d’Hitler et de son absurdité. La pièce fera par la suite l'objet de nombreuses retouches. Elle fait partie, avec l’Étranger (roman, 1942) et le Mythe de Sisyphe (essai, 1942) de ce que l’auteur a appelé le « cycle de l’absurde ». Certains critiques perçurent la pièce comme existentialiste, courant philosophique auquel Camus se défendit cependant toujours d’appartenir.
Il est à noter que la pièce de Camus n’a rien d’une pièce historique, mais nombre d’éléments sont empruntés à la Vie des douze Césars de l’historien latin Suétone. Elle met en scène Caligula, empereur romain tyrannique qui agit avec démesure, en quête d’impossible...

Les mots du metteur en scène :
Caligula traîne son entourage dans le cirque de sa vie. Chacun assiste au théâtre de cette existence déchirée par les doutes, les fêlures intérieures, l’amour qu’il récuse mais dont il est prisonnier.
Tous les comédiens, ayant retiré leurs masques ou mis des masques, passent tour à tour d’acteurs à spectateurs dans un huis-clos étouffant.
On veut l’aimer, le haïr, le consoler, le tuer. Il passe de victime de son amour à meurtrier de ses passions. Sa folie et son obsession de la quête de l’impossible sont partout.
Son constat : « les hommes meurent et […] ne sont pas heureux » (Patrick Rouzaud)

Informations et réservations : http://compagnieicare.free.fr/

Billeterie en ligne :
logo billetreduc  logo_PromoTheatre  fnac

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